Bonjour,
je profite de cet espace de commentaires pour vous copier celui que j’ai laissé sur amazon pour L’homme cet animal raté sous le titre l’un des livres les plus marquants de ma vie (avec Extra Pure de Roberto Saviano)
« Je viens de terminer une seconde fois ce livre remarquable de simplicité, d’érudition et d’intelligence. Je l’ai lu une première fois dans le désordre tellement je voulais capter la pensée générale de son auteur à l’égard de l’humain et de Sapiens en particulier, puis je l’ai relis dans l’ordre très attentivement avec un plaisir de très haute qualité. Il est tellement vrai que les recherches et éthologie comme en anthropolgie, paléonthologie ont tellement progressées en moins de 10 ans que ce livre est un trésor à cet égard.
Nous sommes des monstres culturels qui préféront le mensonge, le deni au réel, nos plus proches parents sont les loups super prédateurs coopératifs et nous allons tous mourir de préférer les mensonges de notre ego à la beauté de la nature à préserver puisque nous en faisons partie. J’accepte (et pas vraiment le choix) que, avec plus de 60% de la population mondiale agée de 28 ans, la surpopulation représentent (avec l’épuisement et le gaspillage des ressources) la fin dramatique de l’homme sur la terre dans moins de 20 ans. C’est clair. J’aurais apprécié énormément que Pierre Jouventin, qui ne nie pas les grands massacres du debut du néolithique, nous parle d’un cas que je pense unique dans le règne animal dont nous faisons partie est le fait que nous sommes les seuls mammifères qui tuons nos femelles ou martyrisons nos enfants (les chiffres de l’enfance maltraitée en France sont en croissance exponentielle démente depuis 10 ans) comme du bétail… Est ce un avatar culturel monstrueux de plus ? ou bien il existe des espèces qui le font aussi couramment avec une telle désinvolture, un tel deni ? J’aurais tellement aimer avoir l’avis de Pierre Jouventin sur cette question. »
Grand merci pour votre intérêt : c’est pour des gens comme vous que j’ai publié ce livre, fruit de nombreuses années d’études, de lectures et de réflexion.
Début juin, un débat avec Serge Latouche, le ‘pape’ de la décroissance, sera publié chez le même éditeur sous le titre : ‘Regards croisés sur l’effondrement en cours…
Bonjour,
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« Je viens de terminer une seconde fois ce livre remarquable de simplicité, d’érudition et d’intelligence. Je l’ai lu une première fois dans le désordre tellement je voulais capter la pensée générale de son auteur à l’égard de l’humain et de Sapiens en particulier, puis je l’ai relis dans l’ordre très attentivement avec un plaisir de très haute qualité. Il est tellement vrai que les recherches et éthologie comme en anthropolgie, paléonthologie ont tellement progressées en moins de 10 ans que ce livre est un trésor à cet égard.
Nous sommes des monstres culturels qui préféront le mensonge, le deni au réel, nos plus proches parents sont les loups super prédateurs coopératifs et nous allons tous mourir de préférer les mensonges de notre ego à la beauté de la nature à préserver puisque nous en faisons partie. J’accepte (et pas vraiment le choix) que, avec plus de 60% de la population mondiale agée de 28 ans, la surpopulation représentent (avec l’épuisement et le gaspillage des ressources) la fin dramatique de l’homme sur la terre dans moins de 20 ans. C’est clair. J’aurais apprécié énormément que Pierre Jouventin, qui ne nie pas les grands massacres du debut du néolithique, nous parle d’un cas que je pense unique dans le règne animal dont nous faisons partie est le fait que nous sommes les seuls mammifères qui tuons nos femelles ou martyrisons nos enfants (les chiffres de l’enfance maltraitée en France sont en croissance exponentielle démente depuis 10 ans) comme du bétail… Est ce un avatar culturel monstrueux de plus ? ou bien il existe des espèces qui le font aussi couramment avec une telle désinvolture, un tel deni ? J’aurais tellement aimer avoir l’avis de Pierre Jouventin sur cette question. »
Grand merci pour votre intérêt : c’est pour des gens comme vous que j’ai publié ce livre, fruit de nombreuses années d’études, de lectures et de réflexion.
Début juin, un débat avec Serge Latouche, le ‘pape’ de la décroissance, sera publié chez le même éditeur sous le titre : ‘Regards croisés sur l’effondrement en cours…